Cieux nuageux
- Chococassis [Darkside]
- 1 févr. 2022
- 4 min de lecture
Pour accompagner votre lecture : https://youtu.be/UKTQ0tvjfOk?list=LL
♦ L'ironie de la destinée ♦
C'est elle qui va conquérir tout... Elle vit pour être l'être la plus puissante et la plus puissante de tous...Son thème chic et grandiose va toujours sonner dans vos oreilles comme la mélodie de l'âme.. Elle va voler la scène, peu importe où elle est dans ce bel univers...Son costume est fabuleux. Ses cheveux sont magnifiques.Ses yeux diaboliques traversent ton cœur froid et de pierre... Sa voix insipide te fera trembler jusqu'à l'os...Écartez-vous à genoux et inclinez-vous vers le bas alors que vous ressentez l'indignité en sa présence ...
Je regarde le ciel, tout en me disant, que c'est là-haut que j'irais dans quelques années
Réminiscence de mon existence, la vérité se glace, et mon sang en est glacé par le temps, je croise les doigts et je touche du bois pour être épargner de nouveau.
J'ai tant de projet sur la table, tant de chose à te dire, Je me sens parfois si mal mais malgré tout, je m'efforce à rester assis. Je t'en prie, laisse-moi te regardez, voir sous ses yeux envoutant ce si beau sourire. C'est pour toi que je respire, c'est pour toi que mon cœur bat
Envier tous nos souvenirs, entrevoir le pire, quand tout est fini. Ne croyez-en demain que si les jours qui passent ont marchés droit.
Même si pour certains la vie peut-être un film d'horreur . J'ai souvent eu l'impression, d'avoir la tête dans les nuages. C'est que le ciel me tombait sur la tête, notamment quand j'ai lu ses ouvrages. C'est en parti grâce à vous, et à toi que j'ai jadis connu le bonheur.
Si il faut faire des choix difficiles, faisons les sans remords.
Angoissé par les journées qui passent. J'écris ce texte sous le clair d'une lumière de lune, tel un imbécile.
Demain tout ira mieux, j'attends juste que le temps défile, et à travers ce texte, je dénonce mon manque de foi. Je le sais très bien, je ne suis pas parfait. Mais si je me sentais si haut à ce moment là. C'est sans doute car je n'ai jamais pu compter le nombre de fois...Ou cette idée c’était emparé de moi.
J’aime les excès, pas de limites pour moi. J’aime quand ça déborde, regarde donc ce panorama. J’aime changer de décor, changé de visage.
Les émotions et tout ce qui me rend instable. J’aime les contacts humains, ainsi j’ai peur pour demain. Mais vas-y cours, vas jusqu’au bout de ce mauvais chemin. Et je t'en prie, cours, sans faire demi-tour ! Mais alors, pourquoi tu t'barres en courant ?Le temps passe... Et tu cours pas plus vite que lui. J'ai l'impression qu't'es pas au courant... La vie est un livre qu'on n'peut lire qu'une seule fois, on aimerait parfois pouvoir revenir à la page où l'on naît
Parce que celle où l'on meurt est bientôt sous nos doigts.
J'essaie de garder l'équilibre sur un fil électrique. Trop de souvenirs, il m'en revient des odeurs
Voir des sons et des mots, qui me frappe droit au cœur. Quand j'entends son nom prononcé dans l'écho, quand je regarde le ciel, si beau... Quand je fixe l'horizon, les nuages dessinent son visage. Et je comprend enfin pourquoi les bateau rejoignent forcément le rivage.
Aucune explication, je me sens otage, otages du temps qui passent. Mais ou les souvenirs restent, naufragés sans rivière, j'essaie de rire, j'essaie de me le faire dire et propager autour de moi. Mais je le sait, pourtant je me l'étais dit, que j'aurais jamais du croire.
Et c'est par moi-même que j'ai pu le voir, j’essaye de dormir , alors que les rêves se brisaient
Même dans mon sommeil elle es encore là, en dessous de mon oreiller, elle infiltre mes rêves puis n'en sort pas.
Je veux vivre mon rêve, moi c'est tout ce que je demande..Mon caractère se sent comme mes rares envies de sourire, car tellement de choses autour de moi empirent, et mon impuissance ne cessent de m'être lourde sur mes épaules. Sourire, je le fait pourtant si bien.
Oui, sourire Car je veux profiter cette vie avant de rendre la mienne, il faut se rendre à l’évidence, mon espoir est comme entendre un cœur qui bat.
Les traits tirés par la fatigue accumulée, l'esprit hanté par le contexte : "Comment sa allais se passé ?" J'avais un pincement au cœur, effaçant toute bonne comme mauvaise humeur
Plus nous nous rapprochions, plus les secondes semblaient des heures. Les souvenirs restent comme marqués d'une encre indélébile. Au milieu d'images qui défilent, un brin d'espoir se faufile.
Force un peu plus si tu veux faire quelque chose de ta vie, dit toi qu'avec quelque effort, on récole ce que l'on sème. Il y a une fin en toute chose, et aucun malheur n'est éternel
Je pars encore une fois, à la recherche du bonheur, qu'importe les épreuves qui se présenteront face à moi.
Ils disent que l'amour abîme l'être. Pleurer sur son sort n'efface pas les remords.
Mais moi, tout ce que je veux c'est le creux de ses bras. Dure réalité d'un vide creusé par une absence. L'histoire suit son cour mais à quand le retour au bon moment ?
Celui où nous rigolions comme des enfants, encaissée comme une pénalité tirée d'avance.
De mon existence, lorsque j'y repense je me rend compte,, que la morale souffre de cette absence d'éducation à la maison. Cependant à l'heure actuelle, l'égoïsme ne prend plus le dessus. Vérité et compassion, de leur côté se sont perdues. Un plaisir que la séparation enraye. Car depuis que je m'interroge, plus rien n'est pareil. Je me rends compte aujourd'hui que la vie n'est belle que si on le décide. Et elle n'est bien qu'une simple étape. Rien n’est plus affligeant que la mort du cœur, la mort de l’homme en comparaison, est bien secondaire.
Je vois dans tes yeux un avenir radieux, qui illumine le monde. Je n'aime pas les pessimistes.
Je ne trahirai pas le ciel. Avant de rêver, je veux voler. Mon coeur est une boite à musique qui s'ouvre et résonne. Quand elle se met à jouer, elle me réjouit et me donne du courage.
Je le vois dans tes yeux, un avenir radieux. Les mots sont un signal éternel. Et surtout garde bien à l'esprit que c'est l'amour, plus que les bijoux, qui illumine le monde.
Au milieu d'images qui défilent, un brin d'espoir se faufile
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